La mélodie familière de la boutique de Sung
K. KALISA
Karin Kalisa – Héloïse d’Ormesson
Berlin. Un écolier doit rapporter à sa classe un objet illustrant sa culture d’origine. L’enfant fait appel à sa grand-mère vietnamienne, et la vie du quartier va en être bouleversée. Un très joli livre qui a des allures de conte et qui donne envie de croire aux vertus du « bien vivre ensemble ».
Sujet intéressant que cet échange entre deux cultures. La traduction n’ est pas à la hauteur et parfois le style est un peu lourd.
La première partie est intéressante : elle traite de la façon dont les émigrés vietnamiens étaient utilisés comme mains d’œuvre corvéable dans l’ancienne RDA, puis on part sur une utopie, de bon sentiment … Dommage
Un très joli roman,très poétique « un Berlin vietnamien un passé’un Présent un futur autour de Thai…bien plus qu’une marionnette.
Un conte sensible dans un quartier populaire de l’ancien Berlin Est. Une ode à la diversité.
Belle lecture, instructive et dépaysante, effectivement la traduction donne un style un peu lourd à l’écriture, mais néanmoins une grande place est laissée à l’imagination.
Tout à fait d’accord sur “l’ode à la diversité”.
Joli conte un peu trop long. 3
Agréable à lire en vacances
C’est charmant cette saga familiale vietnamienne qui devient celle d’un quartier de Berlin. Le début en tous cas est très écrit et permet de rentrer dans cette histoire où tout tend vers le happy end. Ensuite, cela part un peu dans tous les sens : multiplicité de personnages, de projets, … comme s’il fallait tout faire rentrer de la vision de l’Allemagne de L’Est post-mur et ses migrants vietnamiens dans ces quelques pages. Peut-être aussi un peu trop de bons sentiments dégoulinants et simplistes … mais l’ensemble reste frais.
Se lit sans déplaisir sur le rapprochement des peuples. Mais livre vite oublié. Note 2
Un conte urbain dans un cadre d’intégration réussie qui prête à sourire de bout en bout. Dommage que l’écriture laisse quelquefois à désirer. Note : 3
poétique et histoire jolie…mais style (ou traduction?) lourde parfois
Très joli premier roman. Une description du quartier vietnamien de l’ex Berlin-Est, de la vie très optimiste de ses habitants. La seconde partie du roman est parfois un peu confuse avec effectivement un peu trop de “bons sentiments” mais la poésie y est toujours présente et le final du spectacle des marionnettes sur l’eau, un beau happy-end !
Un très joli conte passionnant lu en quelques heures…
Evidemment un tout petit trop optimiste, mais en filigrane, apparaît la vie des premiers Vietnamiens qui ont débarqué à Berlin-Est à la fin de la guerre du Vietnam – le personnage de la grand-mère est impressionnant – pas facile et en proie au racisme primaire normal…
Nous ne connaissons pas grand-chose de tous ces évènements tragiques…
Aussi, est-ce intéressant de découvrir cela à travers ce joli roman.
Voilà à quelques années d’intervalle deux romans écrits par deux jeunes femmes allemandes (Le goût des pépins de pomme de Katharina Hagena). Romans originaux et dépaysants…
note : 4
J’ai bien apprecie ce conte divertisant, positif et decalle. Une touche d’Amelie Poulain je toruve… C’etait parfois un peu longuet, mais si seulement l’histoire pouvait inspirer davantage de monde a s’ouvrir aux autres et a embrasser la diversite, on vivrait dans un monde plus proche de celui decrit dans læhistoire, et claiement, un monde meilleur! Belle evasion qui met un sourire sur les levres.
au début on est ” sous le charme ” de cette jolie fable ; ensuite je trouve qu ‘il y a vraiment trop de bons sentiments et on se lasse ….C ‘est vrai que le spectacle des marionnettes sur l’ eau est magique , et c’ est une bonne idée d’ en avoir tiré parti pour écrire ce roman…..