Douleur
Z. SHALEV
Zeruya Shalev – Gallimard
Jérusalem. Iris a mal. Mal dans son corps qui ne s’est jamais remis de l’attentat dont elle a été victime dix ans auparavant, mal dans sa vie. Son mari, ses enfants, rien ne va plus. Or au détour d’une consultation médicale, elle retrouve un amour de jeunesse. Superbe portrait d’une femme, épouse, mère et amante en danger, qui va se battre pour vaincre les démons.
c’est un très beau livre , déchirant , le personnage principal Iris malgré l’épreuve de la douleur qui l’handicape dans sa vie fait preuve beaucoup d’humilité auprès des siens , dans sa vie professionnelle , son amour de jeunesse, elle se remets sans cesse en question, m ais c’est à travers cette douleur qu’elle aura la force de se battre pour ceux qu’elle aiment . La fin c’est au lecteur d’en décider…
La vie en Israel: Jérusalem, Tel Aviv…à travers le parcours compliqué d’Iris, une femme blessée, forte et fragile ,directrice d’école compétente , mère courage. Belle leçon de vie.
Le début de ce roman est assez captivant, puis le récit tourne en rond, revient sans cesse sur les mêmes évènements tragiques de l’héroïne, puis bascule dans le sordide et là , stop je n’en peux plus, l’histoire devient invraisemblable, et je referme le livre, dommage, histoire ratée.
Avis partagé avec Véronique. 2 pour certaines pages.
avis partagé avec Véronique et Anne. je n’ai pas terminé le livre, manque d’intérêt j’ai mis une note de 1
Début intéressant mais j’ai abandonné avant la fin
Iris retrouve son amour de jeunesse qui semble n’avoir qu’attendu ces retrouvailles. La voilà bouleversées, prête à quitter sa vie de femme mariée avec toutes ses imperfections. Les problèmes avec sa fille Alma, la retiennent dans la réalité familiale où, à la fin du roman, elle semble retrouver le sens des choses. L’histoire est aussi légère que ce résumé. S’y ajoutent, le contexte israélien, très intéressant, et une espèce de monologue intérieur de l’héroïne qui est fait de telle façon que toute femme qui le lit se dit : « oui, c’est tout à fait moi ou ce qui m’est arrivé. » Façon horoscope donc. C’est faussement psychologique, faussement introspectif, … en tous cas c’est très orienté vers un lectorat féminin quinquagénaire en mal de sens. Autant lire Marie-Claire.
Il y avait là de quoi faire une bonne nouvelle avec quelques scènes très denses.
Enfin, notons que la traduction est tout à fait correcte.
Début intéressant mais peu à peu l’intérêt s’épuise. Trop long. Noté 2
j’ai aimé ce livre, malgré quelques longueurs…je suis entrée dans la vie le drame de cette femme
Un personnage féminin pris dans une sorte de tourbillon et qui ne sait plus quelle décision prendre alors que l’urgence des réponses à donner la bouscule sans arrêt. Nous suivons pas à pas sa lutte constante et l’auteur entretient sans arrêt ce trouble laissant le lecteur lui-même à la recherche de ce qui pourrait être la meilleure suite à donner. Cela nous conduit ainsi de surprise en surprise et nous laisse d’ailleurs à la fin sur d’autres points d’interrogation. Une lecture passionnante. Note : 5
Je rejoins les commentaires de Véronique et des suivants. Un style très ampoulé (..de blanches ambulances mutiques qui arrivent…) dès la 2ème page augure bien mal de la suite ! C’est du grand n’importe quoi avec des répétitions permanentes et une suite de sujets qui ne vont pas au bout d’une description d’un « mal de vivre » qui interpelle. Il faut quand même s’accrocher pour aller au bout. Note 2
Une bluette israélienne ….
J’appartiens à un circuit où ce livre est couvert de 4 et de 5, ce qui est pour moi incompréhensible,. Je partage tous les avis négatifs qui précèdent. Si le retour d’un amour de jeunesse pouvait fournir un thème admissible, les relations mère-fille, et surtout l’emprise du patron d’un bar sur ses serveuses est totalement invraisemblable. Pour comble, pas de conclusion: le livre aurait pu se terminer quelques pages avant, ou après !.. note 1.