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22 bis La femme et l'oiseau

22bis ⸱ La femme et l’oiseau
I. SORENTE

Isabelle Sorente – JC LATTÈS
Le vieil homme et l’ado

Quand un homme de 91 ans réussit à apprivoiser une adolescente révoltée par les circonstances de sa naissance. Elisabeth confie pour quelques semaines sa fille Vina, née par GPA, à son grand-oncle alsacien, ancien « malgré-nous ». Un roman qui rassemble plusieurs générations, chacune avec ses blessures, mais qui finissent ensemble par avancer.

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4.2 basé sur 5 avis

VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

5 thoughts on “22bis ⸱ La femme et l’oiseau”

  1. ELISABETH

    Le roman entrecroise les destins d’un très vieil homme et d’une toute jeune fille, petite nièce de celui-ci.
    Lui comme elle vivent des choses difficiles en lien avec leur passé. Pour lui il s’agit des horreurs de la seconde guerre mondiale, pour elle de son mal-être par rapport à sa mère et sa mère porteuse. Entre les deux, la mère de la jeune fille, elle aussi écartelée.
    Seul un personnage incarne une forme de sérénité, l’amie du grand-oncle.
    Le récit progresse maladroitement entre ces différentes intrigues et tout ça ne sonne pas très vrai. C’est surtout bien long.

  2. NathD

    J’ai beaucoup aimé cette histoire de reconstruction et de résilience des 3 principaux personnages grâce, en partie, à une communion spirituelle avec la nature. Ce roman retrace aussi la tragédie des Malgré-nous qui m’était inconnue. Belle écriture poétique.

  3. Mireille

    J’ai beaucoup aimé ce livre qui m’a touchée en profondeur. Ces personnes qui souffrent et trouvent le moyen de rebondir, quelle leçon de vie !

  4. veroG73

    j’ai beaucoup aimé ce livre : croisement de ces personnage de 3 generations , les questionnements de chacun, et le lien ( l’oiseau et la nature ) qui leur permet de continuer à vivre, à avancer .

  5. Catherine M.

    Excellent roman.
    Personnage pivot, un grand oncle alsacien qui a tu toute sa vie, l’horreur qu’il a subit par les libérateurs de 45 : l’armée rouge. Il a été incorporé de force dans la Wehrmacht à 16 ans avec son frère. On les appelle les Malgré-nous. Ils sont internés dans le Nord Russe, dans le froid, la neige et la faim.
    Isabelle Sorente a osé reprendre ce sujet à bras le corps, ces français oubliés de l’Histoire de notre pays. Elle immerge ce terrible destin dans notre époque. Sa petite nièce, une adolescente, surdouée, tiraillée dans sa recherche d’équilibre de sa vie auprès de sa mère, veuve et parisienne à la tête d’une entrepise de production de documentaire animalier.
    La nature, l’animal : le rapace – le faucon sera le fil rouge de ce roman pationnant, que je n’ai pas lâché.
    Faire mémoire, réussir à relater la complexité de cette tranche d’histoire, c’est une performance.
    Le tiraillement d’une jeune fille, se confrontant à la réalité et la complexité de son origine – enfant portée par une jeune femme indienne dahlit, ajoute un cran dans l’intensité de ce roman. A lire sans modération !

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