Toute la vérité
K. CLEVELAND
Karen Cleveland – Robert Laffont
Analyste à la CIA, spécialiste du renseignement, Vivian Miller découvre le nom de son mari dans une liste d’agents dormants. Entre son pays et sa famille, un choix impossible…
Un brave polar…..cousu de fils blancs !! mais pas désagréable pour passer un week-end neigeux
Je me demande tout de même ce que font les relecteurs de “La Bête Noire3 ,il manque des mots et des phrases sont incorrectes( P119 ,267 ..)
Je me suis laissée emporter par l’intrIgue et j’ai bien aimé ce livre qui m’a tenue en haleine jusqu’à la dernière page.
c’est un roman d’amour, et , surtout, une mère qui ne pense qu’à sauver ses enfants, dans son couple.,tout à fait normal, dans des conditions ambigües et dangereuses. Très attachante ,cette mère…
Ce livre permet de rentrer dans quelques arcannes de la CIA. Des valeurs de courage, de vérité, d’amour sont mises à l’honneur dans ce roman plus prenant au début qu’à la fin. La chute semble opportune…
J’ai bien aimé le livre et ai été déroutée par les dernières pages ; je ne suis pas sure d’avoir bien compris la fin : Omar était il de mèche avec Matt ?
Moi aussi, j’ai bien aimé ce livre !
Oui, Caro, Dasvidania… Elle y retourne, et Omar en est un… Ils sont partout !… La pauvre Vivian !!!…
Malgré quelques exagérations et incohérences inévitablement liées au genre, ce roman d’espionnage est très bien construit. On peut difficilement en interrompre la lecture, l’intérêt de l’intrigue étant continuellement relancé. Une lecture facile et agréable. Note : 4
Roman qui ne renouvelle pas vraiment le genre même si la description du contre-espionnage américain est bien actualisée avec la primauté des analystes, aidés par les logiciels informatiques, sur l’action sur le terrain. Pas très bien écrit, un peu trop sentimental et une fin très convenue.
Note 3
Bof ! trop sentimental …. et que de clichés sur la vie familiale ! Cela ressemble à une série télé .
A lire quand on ne veut pas se prendre la tête .
Trop lu sans doute autrefois de romans policiers et de romans d’espionnage…car au bout de 30 pages, j’ai laissé tomber ! Beaucoup de verbiage et pas vraiment passionnant, m’a-t-il semblé…
Le début est prometteur puis l’ennui s’installe. J’ai sauté des paragraphes pour connaître la fin. Note : 2
Au-delà de l’écriture calamiteuse et/ou de la désastreuse traduction, le livre est une caricature de l’Amérique : obsession de la menace russe, confiance démesurée dans les pouvoirs de l’informatique, omniprésence de l’argent, … et de la vie matérielle. Dès le début il s’agit de montrer l’héroïne coincée dans un dilemme insoluble : son devoir patriotique ou son amour familial et conjugal. Pendant 200 pages cela tourne en rond avant d’évoluer grâce à des événements peu crédibles comme le changement de camp d’un des personnages secondaires. On sort alors des clef USB, des salles informatiques, et là l’auteur ne sait vraiment pas quoi faire de ses personnages. Ce qui est intéressant cependant c’est le doute perpétuel que la jeune femme éprouve face à l’honnêteté de son mari, doute savamment entretenu par les situations successives où elle le voit évoluer et auxquelles elle confronte tous ses souvenirs avec lui. Elle le combat en femme amoureuse. D’ailleurs sur le mari, la chute du livre introduit encore un élément nouveau et c’est bien fait.
Note : 2
inconsistant, mal écrit, situations très répétitives : les enfants prennent leurs bains tous les soirs, et alors? .et puis? difficile de croire à cette histoire malgré un début d’intrigue astucieux
Parfaitement américain dans la construction, la pauvreté de vocabulaire, les situations convenues, la peur du communisme…. Cependant, on se laisse prendre par la 1ère partie, la seconde ferait un bon scénario de film Netflix, mais la fin (prévisible) est parfaite. Note 4.