LaRose
L. ERDRICH
Louise Erdrich – Albin Michel
Une vie pour une vie. Terrible compensation trouvée par un père qui donne son fils en offrande à l’homme dont il a tué l’enfant. Louise Erdrich nous entraîne dans la communauté des Indiens Ojibwé où des adolescentes « bécassent » en se peignant les ongles tandis que des esprits communiquent avec les mortels. Envoûtant.
récit beaucoup trop long ; la multiplicité des personnages, les détails à n’en plus finir, n’aident pas à suivre l’histoire ; j’ai abandonné
C’est vrai, c’est un peu long et pas toujours facile à lire.
Noius sommes dans une autre culture, celle des Indiens Ojibwés du Dakota du nord ; parfois dans un autre temps et un autre monde, celui des esprits des ancêtres toujours présents à la vie de leurs descendants.
Alors comment gérer l’héritage culturel ? Les enfants doivent-ils en supporter les conséquences ?
J’ai beaucoup aimé ce livre.
je suis (péniblement) arrivé au bout, espérant ou imaginant qu’il allait enfin se passer quelque chose de plus que l’événement inaugural du roman… Mais non, on défile indéfiniment la vie de personnages sans grand intérêt, et ça ne débouche sur à peu près rien…
Je nai pas pu le finir,ça m a ennuyée…
Alléchée par le résumé en couverture” …j’ai vite abandonné. Multiplicité de personnages, longues descriptions ..un vrai ennui.
Intéressant cette plongée dans la culture des indiens Ojibwé à notre époque. L’objet de ce roman est une réconciliation entre les membres d’une famille suite à un tragique accident. Un chemin long et douloureux autant pour les enfants que pour les adultes. Effectivement, il y a beaucoup de personnages, mais chacun joue un rôle dans l’histoire. Un petit bémol pour la fin, traitée, selon moi à la sauce « série américaine ».
Dieu que c’est long…… et inintéressant.
Un roman extrêmement fouillis où se mêlent à l’action principale des faits totalement étrangers au récit. Certaines scènes retiennent l’attention mais si elles mettent en jeu quelques personnages du roman, elles semblent participer d’un autre. Une lecture difficile d’un ouvrage très long. Note : 2
Roman beaucoup trop confus. C’est sûrement un grand écrivain mais je pense qu’elle n’est pas très bien traduite car le style est moyen. Trop de personnages dont les discours sont très embrumés par la drogue, les traditions indiennes ou l’alcool. Il faut vraiment attendre les 30 dernières pages pour que tout cela s’éclaircisse un peu, même si ce « happy end » est un peu téléphoné. Dommage car l’idée de départ était intéressante.
Note 2
Compliqué, fouillis. J’essaie de continuer quand même en me disant que si le comité de lecture a sélectionné ce livre, il doit y avoir une raison. Tant pis j’arrête. Note 1