La vie parfaite
S. AVALLONE
Silvia Avallone – Liana Levi
Bologne, Italie. Un couple de bourgeois en centre-ville se désespère de ne pas avoir d’enfant, et à la périphérie, dans un quartier populaire, la jeune Adèle est prête à donner la vie. Des personnages magnifiques, une fin inattendue.
pourquoi ce vocabulaire ordurier des plus déplaisant?
çà ne donne pas envie de lire ses autres livres.
Excellent roman 2 personnages attachants: “Adèle et Dora comme dans la vie”!
Style joyeux , bonne traduction.
Ai donné 5 , il y avait déjà 2×4 .
Bonjour
Franchement embetant pour ne pas dire autre chose. le style est désagreable, l’intrigue “populaire”.
A ne lire sous aucun pretexte. Quel interet????
Roman super intéressant,on s attache aux personnages,le style est agréable,on passe un bon moment.Et puis on est en Italie!!!
encore un style bien embrouillé, (aller/retour incessants dans le temps, cela devient un tic d’auteurs contemporains..) des descriptions crues répétitives qui n’apportent plus grand chose à l’histoire; bien sur on veut connaitre la fin; la fin? plutôt prévisible.
L’Italie, deux femmes … j’ai peut-être cru entrer dans un roman semblable à la série de Ferrante. Rien de tout cela, style confus, Chronologie alambiquée. J’ai abandonné à la fin du premier tiers très déçue
Ce livre m’a remuée, la dernière page fermée j’ai eu envie de me poser comme après un voyage.
L’écriture de Sylvia Avallone est mordante, énergique, je me suis sentie bousculée comme ses personnages. Il m’a fallu un petit temps au départ pour m’habituer aux aller/retour passé/présent, qui permettent de pénétrer aux « Lombriconi » dans cette cité de la banlieue populaire de Bologne (qui ressemble à tant d’autres banlieues !) et dans la vie d’Adèle, de Zeno, de Manu et des autres. Au cÅ“ur du livre une admirable réflexion sur le corps des femmes, sur les choix auxquels nous sommes toutes confrontées un jour ou l’autre avec la maternité : grossesse non désirée (avorter ou garder l’enfant choix difficile lorsque l’on est une lycéenne mineure et dans une famille en grande précarité comme Adèle !), le désir d’enfant lorsque la fertilité n’est pas au rendez-vous comme dans le cas de Dora, que le couple se délite et que l’on est prêt à employer tous les moyens pour satisfaire ce désir qui confine à la folie… et que l’on a de l’argent ! Les responsabilités que nous avons femmes et hommes face à l’enfant (désiré ou non désiré). Les relations hommes/femmes, parents/enfants…
Sylvia Avallone avec beaucoup d’humanité et de talent nous immerge dans ces vies là jusqu’à « l’indicible » que chacun porte en secret.
Je n’oublierai pas cette traversée dans « La vie parfaite » celle vers laquelle chacun tente d’aller pour vivre et non survivre. Cette lecture m’a donné envie de lire d’autres ouvrages de Sylvia Avallonne.
M.D.
Misérabilisme à l’italienne ; assez réjouissant et bien traduit. Se lit et…… s’oublie.
Les deux histoires parallèles de ce roman sont centrées sur l’attendre d’un enfant : l’enfant non désiré d’un milieu défavorisé d’une part et l’enfant désiré qu’un couple de nanti qui n’arrive pas à en concevoir d’autre part. Les deux narrations sont comme entremêlées et un des personnages se place d’ailleurs à la jonction. Ce jeune homme constitue d’ailleurs le centre du récit au cours duquel il passe de la vie rêvée à la réalité aussi compliquée soit-elle. On peut aussi lire ce livre comme un lointain remake moderne de l’Éducation sentimentale, à laquelle le personnage se réfère.
Maintenant cette écriture entrecoupée qui permet de créer un suspens factice en brisant la chronologie et les points de vue de façon artificielle, rend le livre inutilement compliqué et lui donne un rythme qui n’est peut-être pas adéquat. Dans ce drame, il y avait place pour de belles descriptions, pour davantage d’espace aux sentiments.
Oui, ce roman a quelques défauts : on se perd parfois dans la multiplicité des “seconds rôles” et des sous-intrigues, et la façon dont on découvre finalement que tous les personnages sont reliés entre eux a quelque chose d’assez artificiel. Mais l’énergie vitale des personnages principaux, et la façon dont ils surmontent les difficultés de leur existence a quelque chose de solaire qui rend ce roman très attachant. Une belle rencontre.
“et la façon dont on découvre FINALEMENT” ?? (@XMG)
dès avant le milieu du livre le dénouement est téléphoné !!
le positif dans ce livre est la façon dont chacune va prendre une décision initiale , et le cheminement pour changer d’avis .mais comme dit Elisabeth “inutilement compliqué”
c’est dommage, il y a de belles idées. un je ne sais quoi qui manque et aurait rendu ce roman passionnant
Un excellent roman qui nous montrant presque jour après jour la vie des quelques personnages qui le peuplent, dresse un tableau vivant d’une jeunesse déboussolée.
C’est aussi, et ce n’est pas la moindre de ses qualités, c’est une étude très complète sur ce qu’est la maternité et tous les problèmes qu’elle peut soulever. De plus, il faudra attendre les dernières pages pour connaître ce que pourra être la vie ultérieure de tous ces personnages. Note :5
Il faut vraiment être attentif pendant les cent premières pages pour replacer les personnages. C’est un peu mieux ensuite mais je préfère la saga d’Elena FERRANTE sur le même style de vie désespérant de Naples au lieu ici, de Bologne, avec les mêmes aspirations des jeunes à l’enseignement. Bien traduit, mais pourquoi encore ce tic actuel d’utilisation du flash-back ! C’est de toute façon une peinture un peu déprimante de l’Italie
Note 3