2 ⸱ Une saison douce
M. AGUS
Milena Agus – LIANA LEVI
La Sardaigne, terre d’accueil
Un village sarde mourant et déserté par sa jeunesse reprend vie à la faveur de l’installation d’un groupe de migrants encadrés par des humanitaires. Les femmes prennent la parole pour nous raconter, à la façon d’un chœur antique, cette histoire où deux populations hostiles l’une à l’autre vont petit à petit s’apprécier.
L histoire est amusante et intéressante mais c est tellement mal écrit!!
Sympathique roman , qui sous des aspects legers
pose la question plus profonde de notre regard face aux migrants
Livre drôle et émouvant qui nous renvoie à nos confrontations en face de “L’Inconnu”.
Malheureusement, sujet d’actualité…..
Belle manière d’évoquer le drame des migrants qui arrivent en Italie. La poésie est un délicieux onguent, mais, dans le cas présent, elle perturbe l’écriture ! Néanmoins, c’est une œuvre très intellectuelle et il faut se laisser porter par le récit jusqu’à la fin qui est la plus belle partie.
Note 3
Une histoire de migrants, convenue et sans aucun suspense, qui m’a profondément ennuyée: je ne suis pas parvenue à la finir…
Des “envahisseurs” vont permettre à un village sarde qui a perdu son âme de la retrouver. Des tranches de vie et des portrait tendres de personnages divers : de villageois, de migrants et des humanitaires qui les accompagnent. J’ai été très émue par ces portraits, l’autrice ne donne pas de leçon de morale mais elle nous laisse percevoir toute l’humanité de ces personnages très attachants, parfois drôles.
Un agréable petit livre qui se lit d’une traite ! Un sujet grave traité avec légèreté – c’est bien de temps en temps au milieu de tous ces évènements et ces livres anxiogènes ! –
Evidemment, parfaitement pas crédible !!! Mais n’est-ce pas le but de la littérature de nous faire rêver et de nous ouvrir à d’autres horizons ???
J’ai bien aimé cette découverte des femmes de Sardaigne et de cet auteur…
Une histoire de rencontres humaines, en Sardaigne.
Un village qui jusqu’à présent s’était bien débrouillé pour ne pas avoir de migrants …
Mais, des moniteurs accompagnateurs arrivent avec un groupe “répertorié” dans une maison vétuste et inoccupée appartenant à deux soeurs; Quelle position prendre ? Les femmes sardes vont les approcher et oser un premier contact … de fils en aiguilles et d’aiguilles en fils, la vie s’enrichit et se régénère. Dans un climat où l’humour s’invite, le soleil et la beauté .
Ce court roman dédramatise mais ne gomme pas les difficultés de part et d’autre : l’exil et l’accueil….
Un souffle de vie et d’espoir.
Un bon moment de lecture, pas difficile ni prise de tête !
Malheureusement, je n’ai pas su apprécier ce livre à sa juste valeur.
Un petit village de Sardaigne abandonné de ses enfants voit arriver des migrants en transit pour qui ce n’est pas « ça » l’Europe. Refuge provisoire des migrants, une maison à l’état d’abandon est pour tous – villageois, humanitaires, migrants… – l’occasion de chasser l’isolement, de (re)découvrir ses voisins, donner un vrai sens à sa vie, construire un projet… pour tout simplement faire revivre le village et/ou soi-même. C’est un peu confus car la galerie de personnages est trop grande.
Roman plaisant qui fait réfléchir sur l’accueil que nous faisons aux migrants.
Un petit village sarde qui se meurt voit surgir des Envahisseurs et des Humanitaires : des migrants. C’est l’histoire de leur cohabitation, de leur confrontation, de leur arrivée, de leur départ. C’est finalement une façon pour le village de se confronter à lui-même, à la fois dans son quotidien et face à cette mission inhabituelle, le tout avec une faconde de femme italienne mûre. Ce livre est plein de questions dérangeantes, de fatalisme aussi et de douceur.