Les impatients
M. POURCHET
Maria Pourchet – Gallimard
Dans un style nerveux et enlevé, l’auteur nous brosse le portrait de la génération « Y » à travers l’histoire de Reine et d’Étienne, jeunes trentenaires ambitieux, narcissiques et égotistes, déterminés à aller vite et loin. Très loin. Un portrait cruel, un livre qui décoiffe !
Voici ma réaction à chaud, je viens de finir “Les impatients”. D’abord choquée par le style oral, presque télégraphique et pour avoir été apostrophée, moi la lectrice, par l’auteure, je me suis demandé pourquoi ce livre, qui pour moi n’est absolument pas de la littérature, a été sélectionné… J’ai eu l’impression de lire un scénario de film, quoique je n’en aie jamais lu !!! Je suis étonnée de l’avoir lu jusqu’au bout… Je me suis laissée happer… L’univers décrit m’est inconnu, je m’y suis donc intéressée en essayant de faire comme si j’étais devant la télé. Bref, cette portion de la vie de Reine m’a plu, mais le style, pas du tout ! Certes, il est alerte, mais doit-on encourager ce genre de roman ? L’auteure en est à son quatrième, c’est donc que sa prose plaît ?…
J’ai eu du mal lire ce livre que je juge mal écrit, d’un style “parlé”, avec des défauts de ponctuation qui en compliquent la lecture. Je ne comprends pas le pourquoi de cette sélection.
Je suis tout de même allée au bout du roman, mais au final l’histoire est peu crédible pour un thème malgré tout intéressant mais mal traité.
Tout à fait d’accord, je suis surprise par ce choix. Le style relâché ne me plait pas, il rend la lecture difficile, je n’ai pas terminé le roman,
Tout à fait d’accord avec les commentaires précédents.J’ai renoncé à poursuivre au delà de la page 100. La lecture est laborieuse, la ponctuation et le style n’aident pas. J’ai du relire certaines phrases pour mieux comprendre ! Je suis très surprise par le choix du comité de lecture, doit-on encourager ce type de roman assaisonné de grossièretés empruntées à la langue parlée ?
Tout à fait d’accord avec les commentaires précédents, je me suis arrêtée à la page 100. Le style et la ponctuation n’aident pas à la bonne compréhension du texte, j’ai relu certaines phrases pour saisir le sens.
je ne comprends pas ce choix, le langage oral passe mal à l’écrit surtout ponctué de grossièretés.
Quelle écriture télégraphique. On se moque de qui? On dirai du Amélie Nothomb à ses débuts!! J’espère qu’elle ne sévira pas autant!!
L’héroïne diplômée à souhait décide de créer sa propre affaire sur un coup de foudre amoureux. Ca marche et elle casse tout, son affaire, son couple. Et là “deus ex machina” elle retrouve son coup de foudre et recommence une autre aventure!!!J’ai voulu aller jusqu’au bout du livre, mais je l’ai refermé anéantie. Je n’ai rien trouvé qui m’ait plu!
Je ne comprends pas comment le Comité de lecture a pu faire ce choix. Peut-être histoire de coller un second choix pas trop épais! C’est dommage
J’ai mis 1
Les personnages du livre, et l’héroïne en particulier, sont méchants à force de se croire intelligents et l’écriture du livre est idiote à force de se vouloir critique et subtile. C’est une satire, certes, mais dont l’écriture rend l’expérience anecdotique. On croirait lire un reportage télé qui, bien qu’à charge de son sujet, succombe lui-même à ce qu’il dénonce.
Deux extraits
1. extrait profondément laid :
« Bien sûr on ne supporte plus son parfum, on va tous les essayer au niveau I du Bon Marché où on aura au total passé la journée c’est qui les touristes. » page 60.
2. extrait profondément brutal :
« Allez vous êtes Cyril, ça vous change. Vous êtes donc pour un moment dans la peau du connard de l’histoire. » page 157.
Si on veut écrire de la langue parlée, il faut être au moins Boudard et si on veut être méchant, au moins Céline, sinon, c’est juste médiocre.
S’ajoute à tout cela une goutte d’émotion pour donner (quand même) un peu d’humanité au personnage : le médaillon autour du cou de l’héroïne, sans compter une pointe sentimentale avec l’aventure amoureuse si tirée par les cheveux que c’est écrit noir sur blanc « Bien sûr c’est un peu gros, presque trop, mais rien à faire : c’est lui. » pages 161/162.
Ce n’est pas un livre, c’est un produit marketing !
Tout cela culmine avec la perfidie du projet : « œuvre de fiction inspirée des résultats d’enquêtes menées par l’Observatoire des gouvernances et des hauts dirigeants (…) transposition dans le champ littéraire (sic) de travaux d’ordre sociologique. » page 189
L’ensemble est bête et méchant … et vulgaire.
J’avoue avoir lu ce livre avec plaisir. Le style parlé m’a semblé bien adapté à l’histoire et aux personnages.
Il est à l’image de la vie de ces jeunes qui créent des sociétés, trouvent l’argent nécéssaire facilement, revendent lorsqu’ils se lassent… En amour ce n’est pas très stable non plus…
Ce n’est pas le livre que je ne comprends pas ce sont les jeunes…
Les aventures de ces Impatients n’ont pas retenu beaucoup mon attention. La description de ces hauts milieux d’affaires ou de politique sont trop loin de mes préoccupations personnelles. Pour compléter le tableau j’ai eu beaucoup de mal à m’habituer au style de l’auteur et à sa façon de nous faire voyager d’un personnage à l’autre, et pourtant je reconnais que le tout n’est pas sans intérêt. Note : 3
Portrait intéressant d’une génération dite « Y » qui crée des entreprises, veut réussir à tout prix. Un roman parfois cynique, écrit dans un style déroutant mais agréable à lire.4.
L’écriture est vraiment pénible, complètement déstructurée avec des phrases sans verbe. Comme l’histoire elle-même n’est pas captivante et assez banale : le féminisme au pouvoir, l’éducation aux orties…je t’aime, moi non plus…on s’ennuie très vite.
Note 1
Un style haché, foisonnant, un peu gratuit. Des personnages clichés superficiels. Une histoire sans réel rebond.
Très déçue par ce livre…. Écriture insupportable qui va Jusqu’à rendre la compréhension parfois difficile. Je me réjouissais de lire ce livre dont le thème m’intéressait :ces jeunes trentenaires, brillants, toujours dans l’action, et la réalisation de nouveaux projets. Quelle déception dans la façon de traiter le sujet.
Note:1
Première tentative de lecture arrêtée dès le premier chapitre, reprise une deuxième fois … à l’occasion du confinement …et là j’ai été happée jusqu’au bout. Rythme particulier dans lequel il faut entrer, un peu comme si on lisait un script d’une pièce de théâtre. Sur fond de romance radiographie d’une époque, d’un milieu de pouvoir, de finance, de vitesse, Personnages qui s’entrecroisent et tissent les préoccupations d’une époque et d’un milieu
Je me suis demandé si ce style d’écriture avait été volontairement utilisé pour ce roman où si c’était “le style de la romancière” … je vais aller voir
La vie professionnelle d’abord. Une ascension rapide dans le monde de la cosmétologie puis la chute… Bref une histoire sans intérêt.
Des phrases courtes et rapides comme le monde dans lequel elle vit et le décrit l’auteur.
Un style rapide, à l.image de la vie que mènent les protagonistes. « Ça urge « dirait la jeune génération.
On est pressé d’arriver (où ?), de réussir (quoi?), d’aimer (qui ?). Pas toujours facile pour une femme brillante en affaires et qui voudrait faire un enfant au moment stratégique pour le bon développement de son entreprise…
Comme Marie j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre à l’humour assez cynique dont les héros m’ont paru très proches de certains personnages bien réels ….
J’ai beaucoup aimé ce livre, l’observation des trentenaires est attentive et précise et l’écriture nerveuse m’a reposée du pathos et de la gravité d’autres auteurs. Cynisme, fuite en avant, perte totale de sens, les personnages frisent parfois la caricature, mais les personnalités caricaturales prospèrent aujourd’hui dans les organisations. Ce roman n’est peut-être pas une oeuvre littéraire, mais il est bien construit et retrace fidèlement des parcours de vie que connaissent les jeunes générations. Et enfin, quel sens de l’humour incomparable chez son auteur ! Un excellent moment de lecture pour moi.
Après 26 pages j’ai choisi d’arrêter !
Je n’ai pas accroche du tout
Mais pourquoi le comité de lecture a choisi ce livre ? Ce serait intéressant de le savoir.
Je n’ai pas été jusqu’à la centième page.. Note 0.
Bof ! Ecriture intrigante les 100 premières pages, puis on s’y fait…
Au fond, un roman bien classique. La jeunesse, l’argent, l’amour, l’ambition…le trio habituel. La lutte des âges (encore), les « vieux » plutôt sentencieux, les jeunes désinvoltes mais pas tant que cela et tous courent après la reconnaissance de l’autre et l’amour, toujours l’amour.
Une petite pochade, vite lue et vite oubliée.
Un drôle de choix de la BO qui nous avait habitué à + de classicisme. Mais amusant…Pourquoi pas ?
Le style de ce livre m’a intéressé car il est très proche de ces jeunes impatients boostés par leur époque, leur milieu. J’ai pris du plaisir à lire ce livre enlevé, bien construit qui cadre avec une partie de cette génération. Je me retrouve dans les commentaires d’ Anna Pascale et Marie. Humour incisif à la redescente sur une vision plus proche de la réalité. J’ai mis 4
Un reflet de notre société mais style qui ne me convient pas.
Avec un style à la fois déroutant et étonnant , la réalité des jeunes générations pas seulement des hommes mais aussi des femmes qui vont de l entreprise où leurs parents souhaitent qu ils fassent comme eux toute leur carrière mais l’envie de sa start-up, de gouverner seul l’emportent . Merci la BO pour cette lecture que je n’ai pas lâchée du début à la fin .5
écriture originale, très “impatiente” agitée, nerveuse, comme une photo rapide d’un moment d’une vie, et pourquoi pas?
j’ai souvent rit
Nul! Impossible a lire, arrogant, fatigant.
Je ne comprends pas que cette auteure ait pu trouver un editeur… et suffisamment de lecteurs!
Ce livre est un triste exemple de la facon dont notre cher langage est entrain de perdre sa beaute.
Note: 1