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le calame noir

Le calame noir
Y. GHATA

Yasmine Ghata – Robert Laffont

Au XVe siècle, un artiste d’exception, « le calame noir», s’exerce à peindre des sujets inhabituels pour le maître de Tabriz. Il se ressource en séjournant dans un camp de nomades pour échapper aux intrigues de la cour. Un joli texte aux allures de conte qui nous rappelle qu’il ne fait pas toujours bon d’exercer son talent.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

9 thoughts on “Le calame noir”

  1. Michel78

    J’avoue ne pas être du tout entré dans ce roman. C’est beaucoup trop intello pour mon esprit cartésien ! Alors je me suis laissé porter par le texte, assez poétique par moment. Je lirais avec beaucoup d’intérêt les critiques des autres lecteurs. Mais j’ai apprécié les dessins qui figurent dans les pages centrales du livre.

    1. Gouttebaron Isabelle

      J’avoue que moi aussi au début j’ai eu du mal à entrer dans le livre et puis j’ai continué et ce fut un pur régal de voyager avec les deux personnages auprès du peuple nomade. J’ai adoré ce livre m’a noté de cinq. De plus la personne qui parle du livre a pu se réconcilier avec comme le manque de son propre père

  2. bellemeunière

    Après de réels efforts, je vais me contenter de lire le livre en diagonale

  3. ANNIE 75

    Un peu abscons pour moi ,j ai vite décroché !

  4. NMG

    J’ai beaucoup aimé ce livre poétique sur fond historique d’expansion et d’apogée de l’empire Ottoman et déjà de l’opposition sunnite/ chiite évoquée en fin de livre. Quelques croyances « hors islam » persistent dans les tribus nomades et cachées chez le calam noir Siyah Qualam. Explication poétique de ce recueil de dessins si différents des règles dictées à l’époque à la cour de Tabriz. On les retrouve au Topkapi … je ne les ai jamais remarqués et les rechercherai lors de ma prochaine visite! Ce livre vaut vraiment la peine qu’on s’accroche au début.

  5. Marie L

    Comme il est difficile de noter ce livre. Même si je n’aime pas les biographies romancées, l’histoire centrale de Aygül et la découverte d’un enlumineur du XVème siècle valent la lecture, d’autant que l’écriture est agréable. Cependant l’histoire accolée de Suzanne est complètement inintéressante. Les rappels de la relation d’Aygül et de Suzanne sont répétitifs et maladroits. Donc un 4 ici, un 1 là…je finirai sans doute par noter 3.

  6. brioche

    je me suis laissée emporter par la poésie de l’écriture et des ambiances ottomanes. Je l’ai lu d’une seule traite sous le charme des tribus nomades et de la belle relation filiale entre la fille et le père. Un livre que je recommanderai.

  7. Poque

    Toute la description du voyage du peintre au sein du campement nomade est la partie la plus intéressant de cet ouvrage. Toute la relation des liens qui se tissent entre la fille et son père, jusqu’à sa disparition, est aussi l’histoire d’une passion qui garde de l’intérêt. Cependant, toute la partie relative à Suzanne, dont on comprend cependant le parallèle avec l’histoire de la fille, paraît collée là, sans réalisme et de façon toute artificielle qui n’ajoute rien au nœud du récit. Note : 3

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