3 ⸱ Hamnet
M. O'FARRELL
Maggie O’Farrell – BELFOND
Fils de….
D’abord il y a un homme fils de gantier et mal aimé de ses parents. Et puis il y a la belle, l’ensorcelante Agnès, une femme magnifique qui connaît les simples et affiche une liberté que tolère mal son époque, ce XVIe siècle finissant. Et puis il y a l’amour, le mariage, les enfants : un foyer heureux que le deuil vient assombrir. Mais ce sont la vie et la littérature qui triomphent.
La vie de famille de Shakespeare. Un bon roman, très agréable à lire, malgré un découpage temporel parfois perturbant.
Une jolie plongée dans l’Angleterre rurale du 16_17e siècle.
Excellent roman dans lequel la qualité et la finesse de l’écriture réjouisse le lecteur.. Ce livre vous immerge dans un autre siècle au cœur d.une famille dans laquelle les conventions sont bousculées par le caractère fantasque d’Agnès, et sa grande sensibilité. Ne l’a dit on pas un peu sorcière ? On voit comment un couple prend son indépendance et assume sa différence, porté par un amour plus fort que les épreuves. Quelques plongées .dans la légende et le fantastique, bien amenées ajoute au mystère de la vie d’Agnès. Un livre que je vais mettre sur la liste que je retirai.je certainement.. je lui accorde la note maximale.
Très s’bon Choix du comité de lecture. Merci
Marie- Bé
douceur Tolérance, Souffrance, Amour…l
J’ai apprécié le style servi par une traduction delicate..
Le fond de l’histoire m’a bien ennuyé, mais attendant mieux
j’ai trouvé un sursaut d’interêt pour le final !
Une plongée dans le monde du XVI° siècle. Très belle écriture qui retransmet complètement l’atmosphère de l’époque, les lieux, les attentes des uns et des autres, la famille, le risque de vie et mort.
Merci pour cette belle découverte
L’histoire, un peu confuse au début, se précise petit à petit jusqu’à tenir en haleine, servie par une écriture savoureuse qui donne envie de suivre cet auteur.
Les personnages principaux, enfermés dans leur deuil impossible, sont criants de vérité.
Une délicieuse plongée au coeur du siècle de Shakespeare.
On est vite noyé par les descriptions bien trop longues et assez ampoulées qui compliquent le récit. Et, bien sûr, l’auteure utilise sans que cela soit nécessaire les flashbacks ; remettre tout dans l’ordre aurait contribué à une meilleure compréhension. Et il n’y a rien entre la vie de ce petit garçon et le héros de la pièce de Shakespeare
Note 3
Peut-être avais-je trop d’attente sur ce livre tant les critiques étaient élogieuses ? Mais il m’est tombé des mains, j’ai dû me forcer pour en venir à bout. J’ai dû passer à côté mais j’ai trouvé le style plat, sans relief, les personnages ne m’ont pas emballée, impression de déjà-vu : une mère un peu sorcière, des jumeaux -forcément- connectés… j’ai tenu car je me demandais ce que l’autrice allait faire de Shakespeare dans tout ça. Eh bien, pas grand chose, justement et je trouve la fin vraiment ratée et tellement attendue. Bref, grosse déception.
Ce livre aurait pu être un bon roman, il y a de belles pages. Mais l’auteur a choisit de mettre dessus l’étiquette shakespearienne, pourquoi? dans un désir de mieux vendre? Si on cherche un peu, on s’apercoit que des années relatées on ne sait rien, que de la relation de Shakespeare avec sa femme on sait peu, mais que cela n’a sans doute rien à voir avec la passion décrite ici…une grosse déception.
Plongée dans l’Angleterre du 16e siècle bien plaisante.
Tout est pure imagination – c’est Maggie O’Farrell qui le dit – dans ce récit magnifiquement écrit mais ralenti à l’extrême par une richesse descriptive exceptionnelle. Et il y a tous les prénoms de ceux de la famille d’un certain X. né à Stradford-upon-Avon. Qui est-il? Que savons-nous de sa vie? L’auteure laisse planer le mystère…
Je vous recommande le périple d’une puce bondissante a l’origine de la diffusion de la peste sur le bassin méditerranéen depuis l’Egypte jusqu’à Angleterre (à partir de la page 170). C’est un spectacle jubilatoire. Le meilleur moment plein de rythme du livre.
En 2021, la BO proposait à la lecture L’Enfant Céleste de Maud Simonnot. Là, l’auteure imagine que Shakespeare se serait inspiré de l’astronome danois Tycho Brady pour écrire Hamlet. Ici, l’auteure, toujours pleine d’imagination donne une nouvelle source fictive à Hamlet: il serait Hamnet, le fils de ce sieur X décédé à 11 ans et devenu un spectre pour sa mère et son père. Donc un nouvelle polémique possible car il est dit que Shakespeare n’écrivait pas toutes ses pièces ? To be or not to be the playwright? Quelle version en 2024 ?