Deux mètres dix
J. HATZFELD
Jean Hatzfeld – Gallimard
La compétition sportive de haut niveau sur fond de guerre froide. Jean Hatzfeld nous raconte la rivalité entre des athlètes kirghizes et leurs adversaires américains ; il nous démontre comment le sport peut être utilisé à des fins politiques. Restent les sportifs…
Ce récit trace le portrait de quatre athlètes américains et soviétiques durant la guerre froide et les enjeux politiques dont ils étaient l’objet .
L’apres n’est pas plus facile. Ce livre est intéressant mais on reste un peu sur sa faim .
Belle plongée dans le monde du sport et des influences politiques qui se trament derrière ce qui devrait rester un plaisir de “faire de son mieux”. A travers ces quatre destins brisés, on se pose beaucoup de questions et on peut se demander à qui profite le crime…
J’ai beaucoup aimé ce roman que j’avais déjà lu et choisi pour le titre!
Vite lu … Vite oublié.
Seul le titre est percutant.
un peu superficiel et émietté, à part les relations tardives et assez touchantesentre les deux “sauteuses”.
Livre lu assez rapidement intriguée par le titre , déplorable vie des athlètes après leurs performances en espérant que cela ne se prolonge pas actuellement , qui sait ?
Note 3
Autant j’ai suivi avec plaisir les deux sauteuses en hauteur, autant j’ai eu de mal à suivre les deux haltérophiles. Tel qu’est construit le roman, cela est peut-être dû au fait que l’histoire de ces deux haltérophiles vient se placer au milieu des deux sauteuses en hauteur. D’autre part, l’accumulation des noms kirghizes nuit un peu à la facilité de lecture. D’où un plaisir modéré malgré un certain enthousiasme au départ. Note :3
Pendora
Une jolie histoire d’une amitié improbable entre des sportifs de haut niveau. Un roman qui sort des sujets ordinaires Personnages attachants.
Note 4
Quatre portraits d’athlètes désormais retraités avec pour toile de fond la guerre froide.
L’auteur n’a pas réussi à m’intéresser à ce sujet, pas encouragée par son style alambiqué, qui manque de rythme, de détente. Il ne m’a pas convaincue de sauter l’obstacle. Forfait par abandon!
Lu en quelques heures !!!
une écriture de journaliste…et aussi une découverte d’un monde inconnu – celui du sport de haut niveau –
Pas vraiment étonnée de ces carrières brisées en plein vol, car lon finit toujours par détruire ce que l’on a adoré
Et la gloire est plus qu’éphémère…surtout quand le KGB s’en mêle
Mais la jeune américaine Sue est aussi une victime…
Intéressante analyse. C’est une fable sur la vanité et la cruauté du monde.
note : 4
C’est un peu confus et déroutant mais on se laisse vite emporter par les descriptions très bien rendues des épreuves de ces sportifs de haut niveau. Opposition entre deux sports opposés : la force de l’haltérophilie et la grâce du saut en hauteur, entre deux mondes qui s’affrontaient au temps de la guerre froide : les USA et l’URSS, avec, pour cette dernière, l’ombre permanente du KGB mais pour les deux aussi, les ravages des stéroïdes. Et, en final, l’amitié plus forte que la déchéance dans le cadre sympathique et un peu naïf du Kirghistan
Note 3
L’histoire est intéressante mais malheureusement la fin n’est pas une fin . Dommage. Note:3
Histoire intéressante d’amitié mais j’ai trouvé le style très journalistiques et la fin un peu décevante. Dans un contexte de rivalités nationales et régionales, d’enjeux politiques, on découvre le parcours de 4 athlètes de très haut niveau, américains et soviétiques, dans les années 80 en pleine guerre froide. 2 haltéropjiles et deux sauteuses en hauteur s’affrontent lors de compétitions sportives internationales. Au travers de leur vie d’athlètes, on découvre comment des jeunes sont sélectionnés, leur conditions de vie et d’entraînement durant des années pour les amener au plus haut niveau,, le déroulement des compétition ainsi que la vie des équipes qui les entourent durant leurs courtes carrière de champions. C’est une vie à part des autres jeunes, faites de sacrifices, d’efforts, de douleurs et de dopage pour toujours repousser les limites de la performance. Beaucoup ont une fin de carrière difficile, l’après n’est pas toujours rose et ressemble plutôt à une descente aux enfers. On découvre les dessous d’un monde cruel, la pression qui pesait sur les équipes, les sportifs et leurs proches
, les conflits qui sous tendaient les compétitions internationales et les enjeux financiers et politiques.
Malgré un style très médiocre, l’histoire n’est pas dénuée d’intérêt pour qui ne connait rien au monde du sport professionnel. Personnages touchants, jolies descriptions du Kirghizistan, lecture facile dont il ne restera sans doute pas grand chose.
Note 3
Cela tient de la lecture de chroniques sportives et d’une tentative de rendre ces divers compte rendus plus réels en les transformant en une sorte de roman mal rédigé et mal structuré. On ne comprend pas pourquoi le livre aborde d’abord les championnes de saut en hauteur, puis les champions d’haltérophilie, à moins que le point commun ne soit le Kirghizistan. C’est volontairement confus avec des aller-retours inutiles dans le temps. En tous cas, il vaut mieux connaître déjà les dates des différents JO. Quant à la rédaction, j’ai cru que c’était une mauvaise traduction jusqu’à ce que je vérifier que … ça ne l’était pas. En plus le titre est faux : les sportives n’ont jamais atteint les 2,10 m mais les 2,07 mètres. Qu’est-ce que c’est que ce galimatias !?
Intéressant cette plongée dans l’histoire sportive russe des années 80 et dans l’univers du peuple Kirghize.
J’ai bien aimé.