5 ⸱ La fièvre masaccio
S. CHAUVEAU
Sophie Chauveau – LES ÉDITIONS TÉLÉMAQUE
La fureur de peindre
Il découvre la Florence des Médicis à 17 ans et, très vite, stupéfie ses contemporains par son talent. Sophie Chauveau rend hommage à Masaccio qui a ouvert la voie aux maîtres de la Renaissance italienne avec, entre autres, ses travaux sur la perspective et sa détermination à représenter le monde tel qu’il est. Un jeune homme solitaire et pressé de vivre.
J’ai trouve ce livre ennuyeux malgre le sujet interessant. Sophie Chauveau nous avait habitues a mieux. Le style est sec et sans emotion, comme un documentaire. Peut-etre etait-ce l’intention de l’autrice, mais je n’ai pas aime.
Livre ennuyeux et mal écrit.
un ouvrage très documenté et passionnant pour ceux qui aiment l’Italie et sa peinture
et avec une écriture sans fioritures inutiles
J’avais commencé ce livre, sans prêter attention au nom de l’auteur mais en sursautant dès sa deuxième page … j’ai compris qu”il s’agissait de Sophie Chauveau. La recette est toujours la même : évoquer un peintre connu, éparpiller quelques clichés à son sujet au sein d’un récit décousu et noyer le tout dans des phrases sans queue ni tête à la laideur prononcée : « Architecte un jour, architecte toujours, Brunelleschi ne peut s’empêcher de murmurer : ”cent quinze mètres de long 38 mètres de large … ”, mais si bas que Masaccio doit se baisser pour l’entendre » page 110.
C’est une injure à l’écriture et aux peintres sur lesquels elle jette son dévolu.
Qu’on ne parle pas de vulgarisation à propos de ces livres … après la laborieuse lecture de deux cent pages ce dont on se souvient tient en une phrase : décédé à l’âge de 27 ans Masaccio, peintre de la Renaissance, a été un des inventeurs de la perspectives. La lecture de Wikipédia m’aurait laissé davantage de traces. Et, pour avoir lu deux autres ouvrages de Madame Chauveau, je peux dire que je ne sais aujourd’hui rien sur Fragonard, ni sur Sonia Delaunay.
Génial mais j’étais déjà un peu initiée au sujet